Balade nocturne [Génésis+Libre]

Un ange Nombre de messages : 231 Age : 41 Date d'inscription : 31/08/2008

Il était tard.

Les couloirs de l'école était pour ainsi dire vides, et les seuls bruits qui se faisaient enttendre étaitn les craquements du bêtiments et les courants d,air qui sifflaient dans les endrits désertés à cette heure. Désert? pas tout à fait... Une petite silouhette marchait dans l'ombre et tentait de ne pas faire le moindre bruit. Elle passa sous une arche et se retrouva dans un escalier désert.

Kumiko était arrivée au pensionnat depuis quelques jours seulement, et bien sûr, elle ne savait pas encore ce qui s'y passait le nuit.. Elle le découvrirait plus tôt qu'elle ne l'aurait peut-être souhaité, si elle se baladait ainsi à toute heure, faisant fi des rêgles les plus éléémentaires... Pourquoi était-elle là en fait? On pourrait se le demander... La jeune fille aimait tout simplement l'aventure et l'excitation, et voulait découvirir son nouvel environnement sans interférence extérieure. Le jour, il y avait bien trop de monde... c'étakt a nuit que le moment se montrait propice à l'exploration.

Elle entama sa montée des marches en longeant le mur l'oreille aux aguets du moindre bruit, prète à se trouver un coin ou se cacher à la moindre alerte. Elle avait monté jusqu'aupremier pallier quand elle enttendit un brit qu'ellen,aurait pas voulu enttendre: des pas. Ils descendaient vers elle, depuis l'étage supérieur.

Elle regarda autour d'elle, et se cacha dans l'encoignure d'une porte, juste derrière, et regarda par l'ouverture ainsi formée. Elle vit donc arriver un homme, un des professeur de l'école, qui stoppa sur le pallier, tout près de la porte, et semblait écouter. L'avait-il enttendue, tout à l'heure? Elle se lanqua un peu pls dans l'ombre et attendit...

La nuit était fraiche, il pleuvait un peu dehors, mais nous n’entendions rien de l’intérieur de l’établissement. Je m’étais réveillé, il était tard ou tôt tout dépends du point de vue … enfin j’avais un coup de soif et j’étais sortis de ma chambre, en caleçon à rayures Gop. J’ouvris donc la porte de ma chambre et sortis pieds nus. Le parquet grinçait sous mes pas, et le son résonnait sur les murs plus que vide des couloirs. J’entrai dans la cuisine me servi rapidement un verre d’eau bien fraiche et m’assis sur la table pour regarder la pluie battante sur les carreaux de la vitre.

Je mis un moment pour finir mon verre d’eau, j’aimais bien regarder la pluie cela me détendais un peu des journées éprouvantes que j’avais en ce moment. Je finis mon verre, le déposai dans l’évier et ressortis de la cuisine en fermant doucement la porte. En partant j’avais attrapé une pomme verte, et commença le chemin du retour

Mais arrivé devant l’escalier je me sentis comme attiré par une force autre et indépendante de ma volonté, je gravis donc les marches une à une et entendis un petit bruis, je fis un tour sur moi-même mais je ne remarquai personne mais pourtant j’étais persuadé de n’être pas seul … Je chuchotais donc :

Il y a quelqu’un ?

J’entendis un petit souffle d’air provoqué par la respiration d’une personne. Je tendis la main et sortis la personne qui était caché là. Une jeune fille, très mince, de long cheveux blonds les yeux roses brillants, j’étais comme hypnotisé :

Que faites-vous là ? C’est pas sûr la nuit dans le pensionnat.

Je la tirai dans une salle libre et fermai la porte à clée.

Un ange Nombre de messages : 231 Age : 41 Date d'inscription : 31/08/2008

Kumiko avait laissé aller un soupir involontaire et avait ensuite retenu son souffle pour é.éviter de faire du bruit, mais elle avait tout de même été entendue. Et puis, une encoignure de portes, ce n,est pas ce qu'Il y a de plus propice comme cachette, aussi... Elle avait reculé mais pas assez apparement. Et elle n'avait pas été assez discrètes, non plus, sinon elle ne se serait pas faites attrapper. Elle allait surement être punie pour s'être baladée dans les couloirs en pleine nuit. C'était interdit de sortir de leurs chambre pour les élèves après le couvre-feu.

Elle se fit tirer hors de son trou par un bras. Elle avait un air gêné et coupable, comme si elle avait fait quelques chose de mal... ce qui était le cas, techniquement parlant. Ses joues avaient prit la même teinte rose que ses yeux, et elle les baissa d,ailleurs sur ses pieds tandis qu'elle se faisait atirer par le professeur dans un salle vide. La jeune fille, pour tout dire, portait en ce moment une simple chemise de nuit, car elle s'était glissée dans les couloirs après le couvre feu. une chemise de nuit qu'elle aurait mieux fait de garder pour sa chambre et nulle par ailleurs vu qu'elle était presque transparente... Des pantouffles du même rose que la chemise complètait l'image de la jeune fille. Elle croisa les mains derrière son dos et continua de regarder ses pieds, alors qu'elle entendait une clé tourner dans une serrure. Ils étaient maintenant enfermés dans cette salle vide.

Elle releva lentement les yeux mais garda une posture contrite, les mains dans le dos et un peu agitée, elle ne savait plus trop où se mettre et cherchait quelques chose à dire. N'importe quoi. Et assez vite, d'ailleurs. À rester silencieuse comme ça, elle allait juste s'attirer des ennuis. Finalement, elle parla d'une petite voix timide, timiditée qu'Elle ne ressentais qu'en position d'inférioritée dans n'importe quelle situation.

- Je... je suis désolée, je ne savais pas que c'était dangeureux ici la nuit... Je suis nouvelle...

Elle fit une pause et releva enfin la tête pour regarder le professeur en face. Le professeur de mathématique, si elle se rappelait bien. Et qui, à cette heure, ne portait pas grand chose de plus qu'elle, tout comptes fait. Elle ne put s'empêcher de regarder de bas en haut et vice-versa. Pas mal, la tenue... Plutôt sexy, en fait, et ça ne lui allait pas trop mal, en plus.

**Mais qu,est-ce que je débloque, moi? Je suis dans le pétrin, pas à un rencard amoureux! Mais bon... On peut pas se faire de mal à regarder, hein?...**

Elle se força ensuite à se fixer sur ses yeux et à ne regarder que son visage. Elle déglutit et demanda, de la même petite voix timide:

- Est-ce que je vais être punie, pour ça?

Je venais de tirer la jeune fille dans une salle vide et avais refermé la porte à clé.

Pourquoi j’ai fermé la porte je suis con ou quoi > <

Je la regardai rapidement et remarquai qu’elle était uniquement en chemisette de nuit transparente laissant apparaitre les sous vêtements de la jeune étudiante.

Puti* mais arrête de la regarder comme de la viande, t’es son prof pense pas à çà [se fout une tarte virtuelle]

Je me retournai et me dirigeai vers un bureau (celui qui semblait être celui du professeur normalement] tout en désignant une table et une chaise du doigt à la jeune fille (qui n’étais en vérité pas si jeune que sa par rapport à mon véritable âge)

Assoyez-vous là.

Je lui fis dos un instant, le temps qu’elle veuille bien se déplacer et enfin tirer la chaise pour s’assoir. Après avoir entendus la chaise reculer puis revenir, je me retournai et d’un petit saut me mis sur le bureau, assis puis passai une main dans mes cheveux et pris la position du penseur, regardant mes pieds et à la fois pensant à ce que j’allais lui dire, puis je relevai la tête.

Je risque de me faire engueuler par Igor si il apprend ce que je viens de faire… Enfin c’est pas mon genre de faire çà, et surtout pas à des élèves.

« Ce que je m’apprête à vous dire devra rester entre nous, nous sommes bien d’accord ? »

Je relevais la tête mais j’avais toujours du mal à la regarder, et puis je me mis à la fixer dans les yeux pour ne pas avoir à regarder le reste. Je rougis un petit peu, cela m’angoissais un peu de me retrouver avec une fille dans une salle fermée, qui plus est par moi-même.
La jeune fille paraissait perdue dans ses pensées car elle me demandait si j’allais la punir, alors que je lui avais juste dit de me suivre, elle était effrayée, enfin un peu apeurée car elle ne s’attendait sûrement pas à croiser quelqu’un une nuit comme celle là.

Couvre feu de merd*

Je finis par me relever et me rapprocher de la table de la belle jeune femme, puis je lui relevai la tête avec deux doigts posés sur le menton.

Je suis Génésis Oroshi. Je suis professeur de mathématiques dans l’établissement.
Et ce n’est pas mon genre de punir mes élèves, je suis plutôt du genre à rire avec eux et leur faire des blagues, mais je ne vous ai pas emmené ici pour vous punir juste vous protéger.
Car…

J’hésitais un peu, je ne savais pas si il y avait des micros dans la salle, et si je révélais ce secret Igor risquait de me tuer. De toute façon je ne voulais pas avoir à faire çà, sauf si on me l’obligeait !

Donc ce que je vais vous dire vous ne devez pas le dire !
La raison pour laquelle c’est dangereux, c’est que parfois certain professeurs capture des élèves pour leur faire des expériences dessus, ils les violent et le remettent le lendemain en cours comme si de rien était.
Je vais peut être avoir à le faire, mais je n’en ai pas envie…

La jeune fille parut surpris de cette révélation et…

Un ange Nombre de messages : 231 Age : 41 Date d'inscription : 31/08/2008

La jeune fille s'assit sur la chaise que le professeur lui avait désignée après quelques instants de réflexions, en se demandant ce qu'il avait en tête, et attendit de voir ce qu'il allait faire ou dire pour le découvrir. Il attendit qu'elle fut installée sur son siège avant de sauter sur le bureau et de s'y asseoir, regardant maintenant Kumiko bien en face. Il fixait ses yeux, pour éviter de regarder le reste sans doute, et prit un moment pour réfléchir, sans doute à ce qu'il allait dire.

**Je me demandes bien ce qu'il va me sortir. L'a l'air tellement sérieux...**

Elle leva un sourcil intrigué et attendit pateiment d'enttendre ce qu'il pouvait bien avoir à lui dire pour l'avoir enfermée dans cette pièce vide avec lui. Il n'avait apparement pasd'autre idée en tête que de juste lui dire quelques informations. Kumiko fronça les sourcils quand il lui dit qu'elle devrait garder le secret sur ce qu'il s'apprétait à lui dire. Mais qu'est-ce que ça signifiait à la fin? Qu'est-ce que ça pouvait bien être ce grand secret? Elle commençait vraiment à être intrigueé, et elle répondit très vite:

- Bien sûr, professeur, ce que vous voulez...

Il reste un moment sans bouger, silencieux, et puis il se lèves et vient vers elle lentement. Il passe deux doigts sous son menton pour lui relever le visage vers le siens, et puis il prendsde nouveau la parole. Il lui donne son nom et son poste. Oui, ça y est, elle se souvient avoir vu ça sur le plan de cours qu'on lui a fourni quand elle est arrivée. Il est pas beaucoup plus vieux qu'elle d'après la brève description qu'il y avait sur ce plan. Il a rassure d,abord, il n'est pas là pour la punir. Ill'a emmenée là pour lui parler, la mettre en garde. Il tiens à protéger les étudiants, apparement. Il réitère sa demande de silence, plus fermement. Elle a un petit peu peur, là et se demandes où il peut bien vouloir en venir. Mais elle hoche la tête avec fermetée, pour marquer son choix. Non, elle ne dirait rien.

Sa machoire serait tombée sur le planchée si elle n'était pas bien accrochée à son visage. Elle est stupéfaite par ce qu'elle enttends, mais le ton sur lequel il parles est très convaincant et io n'ap pas l'air de plaisanter. Étant elle-même une experte dans le domaine du mensonge, elle sait reconnaitre quand quelqu'un ment, et là, ce nest pas le cas. Et il lui avoue qu'il pourrait lui-même avoir à faire ce genre de choses un de ces jours, mais qu'il ne le veut pas...

Kumiko reste un long oment silencieux. Elle commence à comprendre pourquoi tout le monde file vers sa chambre dès le couvre-feu sans s'attarder dans les couloirs, à la nuit tombée... Et comme elle vient d'arriver, elle n'était pas au courant de cette part du... programme scolaire... Et sans doute que la pupart des étudiants non plus.

- Je sais pas quoi dire... C'est vrai? On fait des expériences sur les étudiants, dans cette école? Et puis des viols... Elle prends une rofonde inspiration. Elle se deamndes si elle doit reprendre le chemin de sa chambre toute seule, maintenant. Pourquoi est-ce que des professeurs feraient ça à des élèves? je ne comprends pas...

Elle a une petite lueur appeurée au fond des yeux. Mais dans quelle maison de fousest-ce qu'elle était tombée, maintenant? Elle devrait peut-être trouver un moyen de partir auplus vite... En tout cas elle se leva, et contourna le petit bureau. Elle était maintenant face à face avec le professeur.

- Mais vous, ce n'est pas votre genre. Je... J'ai un peu peur de rentrer seule à ma chambre, maintenant... Elle le regardait avec de grands yeux de biche, brillants et teintés d'inquiétudes.

Un ange Nombre de messages : 231 Age : 41 Date d'inscription : 31/08/2008

Dsl pour le double poste Embarassed

Juste plur dire que si qqn veut se joindre à nous, j'ai ouvert le topic... Y rep pas vite le Gen...

Le sang est la vie Nombre de messages : 448 Date d'inscription : 28/08/2008

Kiryu trainait comme à son habitude dans les couloirs au beau milieu de la nuit.
Comment décrire cette nuit-là en particulier ... morne serait le mot qui convient.
Le ciel était nuageux et il y avait peu de vent. L'atmosphère, figée, était oppressante et tout semblait attendre qu'un drame se produise. Pourtant rien.
Enfin Kiryu avait assez l'expérience des nuits au pensionnat pour se douter que quelque chose allait arriver.
Quelque chose comme des chuchotements dans une salle sensée être vide à une heure pareille.
Kiryu colla son oreille à la porte. Il ne parvenait pas à distinguer ce que disaient les voix mais il reconnut celle de Kumiko.
Son sang ne fit qu'un tour dans ses veines. Si elle était en danger, il la sauverait, si c'était un rendez-vous galant il châtierait le malheureux quitte à s'attirer les foudres de la jeune femme.
Il prit son élan et s'élança contre la porte. La porte bascula sur elle même et il se retrouva par terre, emporté par son élan. La douleur à son épaule était terrible mais il se releva tant bien que mal.
Il avait bien entendu. Kumiko était bien là, en compagnie du professeur de Mathématiques.
Ils avaient l'air surpris, il les avait visiblement interrompus.
Ses joues devinrent rouges vif à cause de la gêne. Il ne savait plus quoi dire ni quoi faire.

Un ange Nombre de messages : 231 Age : 41 Date d'inscription : 31/08/2008

Kumiko sursauta quand le fravas de la porte qui s'enfonçait se fit enttendre et fit plusiquers pas en arrière. Pendant un instant, après ce qu'elle venait d'enttendre, elle se dit que le cinglédes couloirs était venue pour l'enlever et l'emener dans les sous-sol se faire faire Dieu sait quoi... et encore pire! Elle resta donc une longue minute comple`tement terrifiée, terrorisée, même, avant de se rendre comptes que ce n'était pas un de ces cinglés kidnappeurs d'enfants qu'elle avait devant elle, mais bien Kiryu. Et lui, il avait l'air gêné et confus, mal à l'aise, à cause de son entrée fracassante.

Finalement, le jeune fille fit quelques pas en avant, jetant un coup d'oeil vers le professeur pour voir sa raction, et elle demanda, curieuse et un peu en colère à cause de la frayeur qu'elle venait d'avoir:

- Kiryu? Mais qu'est-ce que vous faites là?

Elle était cependant contente de le vor dan les parages. Avec lui ici, elle ne risquait pas de se faire attaquer... Et elle se montrerait reconnaissante s'il luipermettait de regagner sa chambre en un seul morceau... encore une fois! ¸A finirait par devenir une habitude... Elle se promène seule dans les couloirs et il vient la récupérer pour la racompagner à ses pénates. Elle ne put s'empâcher de sourire bêtement à cett eidée, même si sa situation restait des plus précaires et qu'elle ne savait pas comment le professeur réagirait à cette intrusion brutale.

Le sang est la vie Nombre de messages : 448 Date d'inscription : 28/08/2008

Kiryu restait planté comme un poireau au milieu de la pièce. Vu le regard que lui avaient jeté les deux occupants il devait avoir interrompu quelque chose d'important ... Et il se faisait sans aucun mal une idée de ce que cela pouvait être ... une idée fausse cela va de soit.
Une colère sourde monta en lui à l'encontre du professeur, aidée par la jalousie. Non seulement les profs étaient à la solde du directeur et l'aidaient dans ses machiavéliques desseins, mais en plus ils voulaient s'en prendre à Kumiko ...
C'est donc d'une voix dure où une colère difficilement contenue pointait largement qu'il répondit à Kumiko lorsque cette dernière lui demanda ce qu'il faisait là.

" Je peux te retourner la question ... je croyais que tu aurais pris en compte mes avertissements de l'autre soir.
Visiblement, pas ... "

Il eut une moue triste un instant mais la colère reprit le pas sur le reste.

" Je vois que je dérange ... Quel dommage ... "

Il se retourna vers le professeur de mathématiques.

" Je vous empêcherai de l'emmener ... je la protègerai de vous et de vos manigances même contre son gré. Et même si elle doit me détester pour ça. "

Il se campa sur ses jambes et croisa les bras sur sa poitrine.

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